Président Macky Sall, un amoureux de l’enseignement supérieur: Acte 3, suite et fin. (Par Pr Mbacké Diagne)

Président Macky Sall, un amoureux de l’enseignement supérieur: ACTE 3, suite et fin.La vérité entre directement dans le cœur de ceux qui l’entendent. Elle ne les convainc pas, elle les soulage et efface toutes les blessures au cœur par les contres vérités encaissées. Je viens ici soulager le cœur de ceux qui jusqu’ici n’entendent que du négatif sur leader que nous nous sommes choisi et qui fait tout son possible dans un monde où tout est subitement devenu presque impossible.

Temps 5: face au départ à la retraite en masse DU PERSONNEL ENSEIGNANT (PER) et de la.naissance de nouvelles universités conséquence de sa politique d’élargissement de la carre universitaire, il a pris la décision de recruter plus 200 assistants par année pendant trois ans. Cet effort s’est traduit par l’emploi de plusieurs jeunes docteurs dont la.plupart exerçaient dans les pays développés, signe de d’attrait que le traitement salarial amélioré à eu sur eux. TERMINUS:Ces trois actes suffisent à mettre du baume dans le cœur de ceux qui se soulagent par la vérité et ne voient pas toujours Satan dans les propos de tout citoyen.

Yóbbante: Bravo M. Le PRÉSIDENT. Je vous félicite et vous encourage à continuer dans cette lancée en gratifiant l’enseignement supérieur sénégalais par un

ACTE 4 consistant à apporter une solution à la fermeture tous azimuts de filières de spécialisation pointue suite au départ à la retraite de nos plus éminents PER de RANG A, conséquence de la longue absence de recrutement sur nouveaux postes d’assistants avant votre magistère. Une trentaine de spécialisations doctorales sont fermées faute de PER DE RANG A et cette saignée ne peut pas être comblée par le recrutement de nouveaux assistants parce qu’ils n’ont pas le grade pour encadrer de Master 2 et des thèses de doctorat. Le Sénégal est en train de perdre sa position d’avant-garde dans le peloton de tête où il exportait des compétences vers d’autres pays pour les aider à mettre en place cette formation de troisième cycle.

Aujourd’hui il est non seulement rejoint par d’autres pays du CAMES mais va devoir les solliciter pour maintenir certaines formations de niveau doctoral. Ce qui est une honte sur nous. Alors que cela pouvait être facilement évité si on avait élargi la décision appliquée aux autres ordres et corps professionnels et qui a consisté à relever l’âge de la retraite à cinq ans. Cette décision peut permettre d’avoir d’ici 5 ans des jeunes PER qui arrivent au rang A avant le.départ des seniors qui nous restent.Monsieur le Président voudriez vous pencher de manière urgente sur cette question pour soulager le cœur de ceux qui ne se nourrissent que de belles actions. Les belles actions appartiennent au Créateur qui les aime et place une rétribution sur leur accomplissement. FIN: Merci LE Président défenseur de l’enseignement supérieur.