Contribution/ »Le Sénégal est devenu le vrai pays de tous, un pays qui était à l’agonie, qui commence à marcher »

Il n’est passé par aucun gourou pour arriver à la tête de l’État.
S’il n’était pas là en 2012, nous serions aujourd’hui dans un royaume.
Que les gueules ensanglantées, veulent jouer sur la désinformation, le mensonge, l’intox, l’insulte, le gangstérisme, c’est demain que nous allons tous comprendre.
Le Sénégal était oublié, il ne l’est plus, il a bel et bien retrouvé son leadership par la grâce à son Président.
Pour une première depuis l’indépendance, une chancelière Allemande foule le sol Sénégalais.
Macky Sall est entrain de graver en lettres d’or de par ses actions l’histoire politique de ce pays, comme il est entrain aussi de rehausser vers le sommet, dans la cours des grands ce pays qui était sevré des très grands rendez-vous internationaux.
On l’accuse sans raison de museler la justice, Macky muselle les prix des denrées de première nécessité depuis 2012.
Il maitrise l’énergie électrique.
Il booste l’agriculture, l’élevage, la pêche avec une politique volontariste de gratuité, accompagnée de nouvelles stratégies pour nos braves pêcheurs.
Il s’attaque avec véhémence à l’éducation, à la santé, à l’emploi des jeunes…etc.
On l’accuse d’être un roi, Macky Sall rétablit la souveraineté du peuple en lui rendant les cordes de la démocratie (parrainage).
On dit qu’il ne se fie qu’à sa tête, Macky Sall passe tout son temps a dialoguer, à appeler au dialogue, et gère ce pays avec ceux qui acceptent de mouiller le maillot comme lui.
On parle souffrance des Sénégalais, Macky Sall dit qu’il faut commencer par réduire les inégalités.
Alors il lance toute une série de programmes qui font sentir pour la première à des Sénégalais de souche qu’ils font partie intégrante de cette nation.
Il actionne alors le PUDC, le PUMA, le PROMOVILLE, la Modernisation des cités religieuses.
Il octroie des bourses aux plus démunis en échange que ces pères de familles, ces mères de famille s’engagent a respecter les droits premiers de leurs propres enfants ( être déclaré a l’État civil, être vaccine, aller a l’école.
Il soigne les plus petits quelque le niveau de vie de leurs parents gratuitement jusqu’à l’âge de cinq ans.
Il applique une discrimination positive sur les sénégalais a mobilité réduite…etc
Le Sénégal est un peuple qui résume ses journées à trouver de quoi manger me dit-on.
Quel est le peuple dans ce monde ici bas qui ne se résume pas à aller chercher sa pitance quotidienne ?
Du plus développé au plus pauvre.
Du nord au sud, les populations courent toutes les heures pour trouver de quoi ramener à la maison.
Je trouve qu’au Sénégal malgré tous les efforts de l’État nous ne courrons pas assez.
En 2012, il ne nous restait plus d’énergie pour relever les défis, aujourd’hui l’espoir est là pour qui veut se bouger avec la multitude de programmes destinés à accompagner toutes les couches de la nation.
Pour arriver là où il est aujourd’hui, Macky Sall avait bien besoin de commencer par le verbe, puis le programme, puis l’action.
Pourquoi, Il veut tout simplement être jugé sur ses actions et non sur le charabia que raconte une opposition de jour comme de nuit.
Il sait que le monde extérieur nous regarde, nous apprécie selon nos performances et nos insuffisances, comme d’ailleurs le font tous les leaders d’opinion de ce pays, du religieux en passant par une société civile agressive, jusqu’aux syndicats et patrons d’entreprises, lui il cherche par tous les moyens à mettre le double pour le bonheur de tous.
Oui, l’espoir a succombé. Seulement pour ceux qui étaient habitués à voir l’argent couler à flot d’une manière désorganisée, irrationnelle.
Ceux là qui devenaient des milliardaires en claquant simplement les doigts.
Ce sont ceux là ex fossoyeurs de la république devenus magiciens du verbe, de l’intox, du mensonge qui veulent exister encore.
Ce sont eux et leurs compagnons qui sont dans l’imaginaire, dans les leurres.
C’est aujourd’hui que le Sénégal est devenu le vrai pays de tous, un pays qui était à l’agonie, qui commence à marcher. Laissons marcher avant courir.
Djibril Sène CRIC